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Gonflée à blocChasse au CO2 oblige la 328i doit désormais se contenter d'un quatre-cylindres turbo. Tant pis pour l'exclusivité même si cette BMW présente un équilibre enviable.
Pour convaincre les réfractaires au diesel la Série 3 profite de mécaniques essence récentes et sophistiquées. Reste que si la 335i a effectivement droit au six-cylindres maison cette 328i se contente du quatre-cylindres 2.0 turbo qui a été étrenné par les
Reste que les habitués du six-en-ligne risquent dÂ?être déçus : aussi bien élevé soit-il le deux-litres ne possède ni lÂ?onctuosité ni la musicalité du six-en-ligne BMW. Cette régression nÂ?empêche pourtant pas cette 328i dernière génération à la conduite aussi facile quÂ?équilibrée de sÂ?affirmer comme une bonne routière. Une fois nÂ?est pas coutume BMW nous lÂ?a même confiée sur le circuit de Barcelone. Sur cette piste exigeante empruntée par les F1 la 328i fait étalage de ses qualités : aisée à appréhender progressive aux limites dÂ?adhérence et freineuse efficace elle impose juste de passer les vitesses manuellement car la boîte manque de réactivité dans cet usage extrême. De retour sur la route notre BMW met en avant un confort de suspension en gros progrès ici équipé de lÂ?amortissement piloté. Publié le 02/08/2012 |
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02/08/2012 |
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annee |
2012 |